Andrus Kivirähk

Andrus Kivirähk
Andrus Kivirähk en
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (53 ans)
TallinnVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
soviétique
estonienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Tallinn Secondary School No. 32 (d) (jusqu'en )
Université de Tartu (jusqu'en )Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Journaliste, auteur de littérature pour la jeunesse, dramaturge, scénariste, écrivain, auteur comiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Ingrid Kivirähk (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Juhan Kivirähk (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Ilona Martson (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Liste détaillée
Oskar Luts Humor Award (d) ()
Prix Friedebert-Tuglas ()
Literary award of Viru county (d) ()
Ordre de l'Étoile blanche d'Estonie, 5e classe ()
Prix littéraire Eduard-Vilde ()
Prix littéraire de la Fondation culturelle d'Estonie ()
Grand prix de l'Imaginaire ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Andrus Kivirähk (2021)

Andrus Kivirähk, né le à Tallinn, est un romancier, nouvelliste et auteur de littérature jeunesse, chroniqueur, dramaturge et scénariste estonien[k 1].

Biographie

Andrus Kivirähk commence à écrire pour les journaux à l'âge de 15 ans[k 1]. Par la suite il devient journaliste professionnel.

Il publie au début des années 1990 ses histoires d’Ivan Orav (Ivan l'Écureuil). Son livre le plus connu est un roman absurde, Ivan Orava Mälestused[1]. L'auteur y décrit avec humour la douce vie des années 1930, la République d'Estonie et l'Estonie d'après-guerre. Andrus Kivirähk a aussi écrit des pièces de théâtre, dont plusieurs ont été représentées dans les théâtres estoniens, ainsi que des scénarios pour la télévision et le cinéma[1].

En 2004, son livre Rehepapp ehk November se vend à 30 000 exemplaires, faisant de lui l’écrivain estonien le plus populaire du XXIe siècle[k 1]. En 2007, son livre L'Homme qui savait la langue des serpents a été aussi l’une des meilleures ventes en Estonie.

Depuis 1996, Andrus Kivirähk est membre de l’Union des écrivains estoniens.

En 2021, il est sélectionné pour le prestigieux prix suédois, le Prix commémoratif Astrid-Lindgren[2], et en 2022, pour un autre prix international, le Prix Hans-Christian-Andersen, dans la catégorie Écriture[3].

Œuvres

  • Ivan Orava mälestused ehk Minevik kui helesinised mäed (1995; Eesti Päevaleht)
  • Kaelkirjak (1995, Tiritamm )
  • "Õlle kõrvale" (1996, AS Vaho)
  • "Kalevipoeg" (1997, BNS)
  • "Vanamehed seitsmendalt. Jalutuskäik vikerkaarel" (1997; Loomingu Raamatukogu )
  • "Pagari piparkook" (1999, Kupar)
  • Le Papillon (Liblikas) (1999, Tuum)
  • "Sirli, Siim ja saladused" (1999, Varrak )
  • "Rahva oma kaitse" (avec Mart Juur) (2000, Tänapäev)
  • "Rehepapp ehk November" (2000, Varrak)
  • "Sibulad ja šokolaad" (pièce de théâtre; 2002; avec Tõnu Oja)
  • "Papagoide päevad" (pièces de théâtre; 2002)
  • "Lotte reis lõunamaale" (2002, Varrak)
  • Romeo ja Julia (2003)
  • Vargamäe vanad ja noored (2003)
  • "Limpa ja mereröövlid" (2004)
  • "Vaene üliõpilane" (2004; dans la série "Kuulamisraamat")
  • "Vargamäe vanad ja noored lähevad Euroopasse" (2004)
  • "Wremja. Timur ja tema meeskond" (2004; avec Mart Juur)
  • "Wremja. Zorro märk" (2004; avec Mart Juur)
  • "Jutud" (collection; 2005)
  • "Adolf Rühka lühikene elu" (2005)
  • "Vargamäe vanad ja noored tembutavad jälle" (2005)
  • "Aabitsa kukk" (2006, Eesti Keele Sihtasutus)
  • "Leiutajateküla Lotte" (2006, Eesti Joonisfilm)
  • "Mees, kes teadis ussisõnu" (2007)
  • "Sürrealistid" (pièce; 2007, Eesti Draamateater)
  • "Voldemar" (pièce; 2007, Eesti Draamateater)
  • "Kaka ja kevad" (2009, Varrak)
  • "Jumala lood" (2009)
  • Vombat, Eesti Draamateater, , 96 p. (ISBN 978-9985-9853-4-2)

Œuvres traduites en français

Prix et distinctions

Références

  1. a et b (fi) « Andrus Kivirähk », Porvoo, Éditions Aburdia (consulté le )
  2. a et b Sélections 2021 sur le site officiel.
  3. a et b (en) « Hans Christian Andersen Awards 2022 », sur ibby.org, .
  4. « Andrus Kivirähk », Littérature estonienne (consulté le )
  5. (ekk) « Kivirähk võitis Eesti ulmeauhinna" », Postimees, (consulté le )
  6. Honor List 2008, site officiel de l'IBBY.
  7. (ekk) « Lapsed selgitasid välja tänavuse Nukitsa konkursi võitja », Postimees, (consulté le )
  8. (ekk) « Andrus Kivirähk pälvis Läti Janis Baltvilksi lastekirjanduse preemia », Postimees, (consulté le )
  9. Les lauréats du Grand Prix de l'imaginaire 2014, article de Gillossen sur Elbakin.net le 30 mai 2014. Page consultée le 31 mai 2014.
  1. a b c et d Kaus p. 58

Annexes

Articles connexes

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
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Sur les autres projets Wikimedia :

  • Andrus Kivirähk, sur Wikimedia Commons
  • Andrus Kivirähk, sur Wikiquote
  • Andrus Kivirähk (trad. Jean-Pierre Minaudier), Un artiste (nouvelle), Littérature estonienne (lire en ligne)
  • Antoine Chalvin, « Brève introduction à l'Histoire de la littérature estonienne », France-Estonie, (consulté le )
  • (en) Ott Heinapuu et Katre Kikas, Folk Belief or Anecdote? On the Genre Logic of Rehepapp by Andrus Kivirähk in the Context of Folklore Genres, vol. 26, Institute of Estonian Language, Estonian Folklore Archives, , 101–112 p. (ISSN 1406-0957, lire en ligne)
  • (en) Estonian Literature Information Centre
  • (en) Andrus Kivirähk, « A Brave Woman », Eurozine, (consulté le )
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