Fêtes et jours fériés en France

Fête de la musique à Chenebier, en Bourgogne-Franche-Comté (juin 2018).

La France compte onze jours fériés (fêtes religieuses et civiles) légalement définis par le code du travail[1], à l'exception de l'Alsace-Moselle, bénéficiant du droit local, et de plusieurs collectivités de la France d'outre-mer, qui en comptent davantage.

Le , jour de la fête du Travail, est en France le seul jour férié obligatoirement chômé et payé, sauf impossibilité due à la nature de l'activité (mais donnant droit à une indemnité)[2]. Les autres jours fériés ne sont pas obligatoirement chômés, sauf dispositions contraires des conventions collectives applicables dans les entreprises.

Alors que les dictionnaires de termes juridiques font l'équivalence entre jour férié et fête légale (un terme renvoyant à l'autre), le jour férié correspond au support chronologique alors que la fête légale désigne l'événement lui-même, plusieurs fêtes légales pouvant se produire un même jour férié (exemple : le 15 août sous les Premier Empire et Second Empire abrite à la fois l'Assomption et la Saint-Napoléon).

Histoire

Durant la société d'Ancien Régime, il existe dans l'année des dizaines de fêtes religieuses qui sont obligatoirement chômées. Elles servent alors souvent d'éléments chronologiques pour dater du jour. Cependant, dès le XVIIe siècle, la hiérarchie catholique en supprime pour appuyer l'activité économique. Par exemple, en Auvergne, elles passent de 53 par an à la fin du XVe siècle à 26 quand arrive la Révolution. Les jeux, la danse y sont rigoureusement encadrés. Quand ce n'est pas l'Église qui les contrôle, les fêtes sont menées par des sociétés de jeunesse ou des confréries professionnelles. La fête pouvait avoir des formes diverses, telles des processions religieuses, parades militaires, événements corporatistes, commémorations rituelles. Ces fêtes étaient l'occasion d'exercer une grande créativité. Au XVIIe siècle, pendant l'âge baroque, se manifeste un clivage de plus en plus net entre manifestations festives populaires et fêtes organisées par les autorités[3].

À la Révolution française, on assiste à une plus grande pression de la mise en scène du pouvoir politique. Les révolutionnaires cherchent à encadrer le désordre : la bourgeoisie jacobine redresse vite, par des mouvements de maîtrise, les mouvements de transgression. Cependant, on assiste à un renouvellement des cérémonials. La fête sert à entretenir la flamme révolutionnaire ; mais si elle devient trop contrôlée, dès qu'elle devient spectacle, la population urbaine s'en détourne, et invente de nouvelles formes spontanées. On retrouve ce schéma sur l'ensemble de la période : la Révolution commence par la Fête de la Fédération, manifestation inaugurale, et se termine par le Culte de l'Être suprême ; on passe de la célébration à un nouvel ordre. On retrouve ce schéma dans la plupart des séquences révolutionnaires françaises[3].

Les XIXe et XXe siècles voient la disparition progressive des manifestations festives sauvages, sauf peut-être lors d'évènements comme Mai 68. Les Géants du Nord se font remplacer par des cortèges ou des visites présidentielles organisées par l'État. Les carnavals à l'ancienne sont pris en charge par la jeunesse de l'élite ou les municipalités. Même dans les banlieues ouvrières, les fêtes populaires sont récupérées par le Parti communiste français pour des commémorations comme le 1er mai (journée internationale des travailleurs). De façon plus profonde, au cours de cette période, les notions d'art et de culture deviennent des activités autonomes dans le vécu des différentes couches de la société, et il devient normal, même désirable, que l'État les prenne en charge. La fête perd son impulsion ou évidence immédiate, et dépend de procédures administratives pour assurer sa programmation[3].

La notion de fête légale se développe en France au cours du XIXe siècle (la loi du 18 germinal an X - 2 avril 1802 - statue qu' « aucune fête, à l'exception du dimanche, ne peut être fixée sans la permission du gouvernement »[4]) pour déterminer si elle inclut les fêtes civiles aux fêtes religieuses et pour savoir si elle doit être instaurée par un texte réglementaire ou par une loi. Dans le sillage du Concordat, le nombre de fêtes religieuses est ramené à quatre (Noël, Toussaint, Assomption, Ascension[5]) suivant l'indult du cardinal Battista Caprara du . Parallèlement, les jours de fêtes légales augmentent par l'adjonction de fêtes civiles, le pouvoir cherchant à en limiter le nombre et à les fixer sur un jour férié déjà existant ou le dimanche pour des raisons économiques.

La fête légale devient dès lors un jour non obligatoirement chômé (sauf en Alsace-Moselle et sauf le 1er mai dans toute la France). Elle donne lieu, lorsque le jour férié est travaillé, à compensation financière si les conventions de branche ou d'entreprise le prévoient. Certaines obligations indiquées dans le code du commerce (exemple : dépôt de protêt impossible si la date d'échéance tombe sur un jour férié), le code de procédure pénale ou le code électoral (exemple : délai de contestation prenant en compte le jour férié) s'y attachent[6].

Les jours fériés suivants sont ensuite ajoutés par des lois : le 14 juillet devient férié à la suite d'une loi du . Le , les lundis de Pâques et de Pentecôte deviennent fériés[7],[8]. Le 11 novembre devient férié à la suite d'une loi du . Le 1er mai devient férié par une loi du .

Fêtes fériées

Fêtes civiles

  • 1er janvier, jour de l'an, nommé également « nouvel an » : ce jour devient férié sous le 1er Empire par avis du Conseil d'État du 23 mars 1810.
  • 1er mai, fête du travail : ce jour est, en premier, déclaré jour chômé le 23 avril 1919 en même temps qu'est ratifiée la journée de 8 heures. Le maréchal Pétain la change en « fête du Travail et de la Concorde sociale » en en faisant un jour férié, chômé et payé. L'instauration de ce jour commémorant les luttes de travailleurs n'aboutit qu'avec la loi du 30 avril 1947 (jour chômé et payé), modifiée par celle du 29 avril 1948 (« fête du Travail »).
  • 8 mai, Victoire 1945 : commémoration de la « capitulation sans condition » (à ne pas confondre avec un armistice) de l'Allemagne nazie mettant fin à la Seconde Guerre mondiale en Europe. Déclaré jour férié de commémoration, en France, le 20 mars 1953, le caractère férié est supprimé par le président Charles de Gaulle en 1959. Par la suite, le président Giscard d'Estaing supprime également la commémoration en 1975. Ce n'est qu'en 1981 que la loi rétablit le jour férié commémoratif sous la présidence de François Mitterrand.
  • 14 juillet, fête nationale française : commémoration de la Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, qui célébrait la prise de la Bastille l'année précédente. C'est sous la Troisième République que ce jour devient la fête nationale par la loi du 6 juillet 1880.
  • 11 novembre, Armistice 1918 : jour anniversaire de l'armistice de 1918 mettant fin à la Première Guerre mondiale et de commémoration annuelle de la victoire et de la paix, journée d'hommage à tous les morts pour la France.

Fêtes religieuses chrétiennes catholique

Le jeudi de l'Ascension, la fête de l'Assomption, la Toussaint et Noël sont fériés à la suite de l'arrêté du 29 germinal, an X () découlant du Concordat, signé entre Napoléon Bonaparte, alors Premier Consul, et le pape Pie VII[8]. L'arrêté est ensuite reconduit par la loi de séparation des Églises et de l'État du , article 42.

La loi du ajoute le lundi de Pâques et le lundi de Pentecôte (ces lundis ne sont pas des fêtes liturgiques en eux-mêmes, mais des jours de repos consécutifs, qui datent du gouvernement républicain de Charles de Freycinet ; la fête religieuse a, quant à elle, lieu le dimanche correspondant). Le lundi de Pentecôte a perdu son caractère de jour de repos en 2004 au titre de la Journée de solidarité envers les personnes âgées et handicapées ; mais est redevenu chômé en 2008. Il est souvent imposé aux salariés pour des raisons d'organisations, qui voient ainsi ce jour déduit de leur stock de jours de RTT en contrepartie, à moins de le récupérer avec une autre journée de travail supplémentaire[9].

  • Lundi de Pâques : date variable, tombe un lundi compris entre le 23 mars et le 26 avril, suivant le calcul de la date de Pâques, qui célèbre la résurrection du Christ ;
  • Jeudi de l'Ascension (39 jours après le dimanche de Pâques) : date variable, lendemain de la fête commémorant la montée de Jésus au ciel ;
  • Lundi de Pentecôte (50 jours après le dimanche de Pâques) : date variable, lendemain de la fête commémorant l'envoi du Saint-Esprit aux disciples et la naissance de l'Église ;
  • Assomption () : fête catholique célébrant la montée au ciel de Marie, mère de Jésus, sainte patronne de la France dès l'Ancien Régime, puis remplacé par un jour chômé par Napoléon pour fêter son anniversaire. Sous le Second Empire, ce jour était à la fois une fête religieuse dédiée à la Vierge et la Saint-Napoléon, anniversaire de l'Empereur ;
  • Toussaint (1er novembre) : fête catholique célébrant tous les saints ;
  • Noël (25 décembre) : fête célébrant la naissance de Jésus-Christ. La veille, le 24, est consacrée au réveillon de Noël et à la messe de Minuit dans certains pays par les chrétiens.

Fêtes fériées au niveau local

Alsace et Moselle

Guadeloupe

Guyane

La Réunion

Martinique

Nouvelle-Calédonie

Polynésie française

Saint-Barthélemy

Saint-Martin

Wallis-et-Futuna

Danseuses et danseurs pour la fête du territoire, le .

Fêtes non fériées

Fêtes civiles

Janvier

Février

Mars

Avril

Mai

Juin

Septembre

Octobre

  • Premier dimanche d'octobre : fête des familles, créée par l'ancien député UDF Yves-Claude Heno[réf. nécessaire]
  • 31 octobre : Halloween, fête d'origine irlandaise, fêtée depuis peu en France. Cette fête était le réveillon du jour de l'an qui était le  ; ce soir-là les gens se déguisaient en monstres ou fantômes. Halloween était devenue la 3e fête commerciale en France à partir de 2000, mais ce fut passager. Malgré tout, Halloween reste assez fêtée, notamment par les enfants. Cette fête n'est pas fériée en France.

Novembre

Décembre

Fêtes catholiques

Article détaillé : Calendrier chrétien.

Certaines fêtes sont indiquées ici comme non fériées du fait qu'elles tombent toujours un dimanche, et sont donc en pratique comme fériées.

Fêtes protestantes

Fêtes juives

Article détaillé : Fêtes juives.

Fêtes musulmanes

Article détaillé : Fêtes musulmanes.

Les célébrations suivent le calendrier lunaire :

Fêtes bouddhistes

Articles détaillés : Fêtes bouddhistes et Vesak.

Depuis 1997[18], un agent de la fonction publique peut obtenir une autorisation d'absence à l'occasion de Vesak, jour de la pleine lune de mai, si les nécessités de service le permettent[19],[20].

Répartition des jours fériés

Les huit jours fériés à date fixe peuvent être un samedi ou un dimanche ; dans ce cas les conventions collectives peuvent prévoir un jour chômé récupérable, mais ce n'est généralement pas le cas.

Ces mêmes huit jours fériés fixes (1er janvier, 1er mai, 8 mai, etc.) se retrouvent distribués de la même façon sur les jours de la semaine tous les 28 ans (sept jours dans la semaine × année bissextile pratiquement[21] tous les quatre ans). Au cours de ce cycle de 28 ans, chaque fête fixe tombe exactement quatre fois sur chacun des sept jours de la semaine (au cours d'un cycle de 28 ans, le 1er janvier tombe quatre fois un lundi, quatre fois un mardi, etc.). En revanche, pour une année donnée, un nombre plus ou moins grand de fêtes fixes tombent la semaine ou le week-end.

Répartition des jours entre la semaine et le week-end

En moyenne, 2,29 jours fériés par an tombent les week-end. Il y a donc non pas 11 mais 8,7 jours chômés en France chaque année du fait des jours fériés (sauf disposition contraire des conventions collectives permettant la récupération).

Plus précisément, le nombre de jours fériés qui tombent le week-end est de :

  • 1, si le 1er janvier tombe un mardi ou mercredi (lundi ou mardi les années bissextiles) ;
  • 2, si le 1er janvier tombe un lundi, jeudi ou dimanche (mercredi ou samedi les années bissextiles) ;
  • 3, si le 1er janvier tombe un vendredi ou un dimanche une année bissextile ;
  • 4, si le 1er janvier tombe un vendredi ou samedi (jeudi les années bissextiles).

Ainsi, en 2008, une seule fête est tombée un week-end (le 1er novembre, un samedi).

Tableau récapitulatif

Fêtes et jours fériés
Date Nom Remarques Historique
1er janvier Jour de l'an Premier jour de l'année ; pour les catholiques, fête de Sainte Marie (en) (avant le concile Vatican II, circoncision de Jésus-Christ).
Avant-veille de Pâques
(vendredi 29 mars en 2024, vendredi 18 avril en 2025)
Vendredi saint Jour férié chrétien supplémentaire spécifique aux départements de la Moselle, du Bas-Rhin, du Haut-Rhin, de la Guadeloupe, de la Martinique et de la Polynésie française.
Lendemain du dimanche de Pâques
(lundi 1er avril en 2024, lundi 21 avril en 2025)
Lundi de Pâques Lundi dans l'octave de Pâques.

La fête chrétienne de Pâques est calculée pour tomber le premier dimanche qui suit la première pleine lune du printemps. Il s'agit ici de la date grégorienne de Pâques, commune aux chrétiens catholiques et protestants.

27 avril Abolition de l'esclavage Dans le département de Mayotte uniquement.
28 avril Saint-Pierre Chanel Fête catholique spécifique à la collectivité de Wallis-et-Futuna, commémore le martyre de Pierre Chanel à Futuna en 1841.
1er mai Fête du Travail Commémore la ratification de la journée de travail de huit heures ; traditionnellement le jour de nombreuses manifestations syndicales et politiques en France (la dénomination « fête du Travail » est officialisée le 29 avril 1948).

Il s'agit également de la fête catholique de Saint Joseph artisan.

depuis 1941
8 mai Fête de la Victoire Commémoration de la « capitulation sans condition » de l'Allemagne nazie, mettant fin à la Seconde Guerre mondiale en Europe (1945). 1953-1959 et depuis 1982
22 mai Abolition de l'esclavage Dans le département de la Martinique uniquement.
27 mai Abolition de l'esclavage Dans le département de la Guadeloupe uniquement.
28 mai Abolition de l'esclavage À Saint-Martin uniquement.
39 jours après Pâques
(jeudi 9 mai en 2024, jeudi 29 mai en 2025)
Jeudi de l'Ascension Fête chrétienne célébrant la montée de Jésus-Christ aux cieux.
Lendemain du septième dimanche après Pâques
(lundi 20 mai en 2024, lundi 9 juin en 2025)
Lundi de Pentecôte Perd son caractère de jour de repos en 2004.

Avant la réforme liturgique de l'Église catholique, il s'agissait d'un jour dans l'octave de la Pentecôte. Depuis 2018, les catholiques célèbrent la fête de la bienheureuse Vierge Marie, Mère de l'Église.

10 juin Abolition de l'esclavage Dans le département de la Guyane uniquement.
29 juin Fête de l'autonomie Fête spécifique à la Polynésie française, commémorant l'autonomie mais aussi le don de la souveraineté sur les îles de la couronne de Tahiti à la France en 1880 par le roi Pōmare V.
14 juillet Fête nationale Commémoration de la Fête de la Fédération du (elle-même anniversaire de la prise de la Bastille en 1789).
21 juillet Fête de Victor Schœlcher Commémoration de la naissance (en fait le ) du député Victor Schœlcher, qui fut à l'origine de l'abolition de l'esclavage, spécifique à la Guadeloupe et à la Martinique.
29 juillet Fête du territoire Fête civile spécifique à Wallis-et-Futuna commémorant le passage de cette collectivité au statut de territoire d'outre-mer par la loi du .
15 août Assomption Fête catholique célébrant la montée de la Vierge Marie aux cieux.
24 septembre Fête de la citoyenneté Fête civile spécifique à la Nouvelle-Calédonie commémorant la prise de possession par la France de ce territoire en 1853.
9 octobre Abolition de l'esclavage À Saint-Barthélemy uniquement.
1er novembre Toussaint Fête de tous les saints de l'Église catholique.
11 novembre Armistice de 1918 Commémoration de l'armistice mettant fin à la Première Guerre mondiale.
20 décembre Abolition de l'esclavage Jour férié supplémentaire spécifique au département de La Réunion. depuis 1981
25 décembre Noël Fête chrétienne célébrant la naissance de Jésus de Nazareth.
26 décembre Saint-Étienne
(premier martyr)
Jour férié supplémentaire spécifique aux départements de la Moselle, du Bas-Rhin et du Haut-Rhin.

Tableau récapitulatif simplifié [22]

Fêtes légales (France) Dates de 2023 Dates de 2024 Dates de 2025 Dates de 2026
Jour de l'an Dimanche 1er janvier Lundi 1er janvier Mercredi 1er janvier Jeudi 1er janvier
Lundi de Pâques Lundi 10 avril Lundi 1er avril Lundi 21 avril Lundi 6 avril
Fête du Travail Lundi 1er mai Mercredi 1er mai Jeudi 1er mai Vendredi 1er mai
Fête de la Victoire Lundi 8 mai Mercredi 8 mai Jeudi 8 mai Vendredi 8 mai
Jeudi de l'Ascension Jeudi 18 mai Jeudi 9 mai Jeudi 29 mai Jeudi 14 mai
Lundi de Pentecôte Lundi 29 mai Lundi 20 mai Lundi 9 juin Lundi 25 mai
Fête nationale Vendredi 14 juillet Dimanche 14 juillet Lundi 14 juillet Mardi 14 juillet
Assomption Mardi 15 août Jeudi 15 août Vendredi 15 août Samedi 15 août
Toussaint Mercredi 1er novembre Vendredi 1er novembre Samedi 1er novembre Dimanche 1er novembre
Armistice Samedi 11 novembre Lundi 11 novembre Mardi 11 novembre Mercredi 11 novembre
Noël Lundi 25 décembre Mercredi 25 décembre Jeudi 25 décembre Vendredi 25 décembre
Fêtes légales (Alsace-Moselle) Dates de 2023 Dates de 2024 Dates de 2025 Dates de 2026
Vendredi saint Vendredi 7 avril Vendredi 29 mars Vendredi 18 avril Vendredi 3 avril
Saint-Étienne Mardi 26 décembre Jeudi 26 décembre Vendredi 26 décembre Samedi 26 décembre

Notes et références

  1. Articles L. 3133-1 à 3 du code du travail.
  2. Articles L3133-4 à 6 du code du travail
  3. a b et c Sylvia Ostrowetsky et Philippe Chaudoir, « L'espace festif et son public. Intervention culturelle en espace public en villes nouvelles et villes moyennes », Les Annales de la Recherche Urbaine, vol. 70, no 1,‎ , p. 78–88 (DOI 10.3406/aru.1996.1930, lire en ligne, consulté le ).
  4. « 1802. Loi du 18 Germinal an X », sur Legirel.cnrs.fr (consulté le ).
  5. Agenda des gens d'affaires, ou tablettes utiles et commodes pour les affaires civiles, soit des tribunaux ou de commerce, pour l'an bissextile 1808, Bruxelles, (lire en ligne), p. 6.
  6. Jacqueline Lalouette, Jours de fête - Jours fériés et fêtes légales dans la France contemporaine, Tallandier, 2010, 390 p. (ISBN 2847344713).
  7. « Partie officielle », Journal officiel de la République française, no 67 de la 18e année,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  8. a et b Émile Favard, « L'histoire de nos jours fériés », sur Les Échos, (consulté le ).
  9. https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13425
  10. Anis Issa, « La Saint-Étienne, un jour férié à géométrie variable », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  11. Karim Rosaz, « Abolition de l'esclavage le 28 mai à Saint-Martin, jour férié », sur lepelican-journal.com, (consulté le ).
  12. « 22 janvier : journée franco-allemande », sur Ministère de l'Éducation nationale (France), (consulté le ).
  13. « LOI no 2012-1361 du 6 décembre 2012 relative à la reconnaissance du 19 mars comme journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc », Journal officiel,‎ (lire en ligne).
  14. Décret no 2005-547 du 26 mai 2005 instituant une journée nationale d'hommage aux « morts pour la France » en Indochine, le 8 juin de chaque année, JORF no 122 du 27 mai 2005, p. 9218, texte no 74, NOR DEFD0500643D, sur Légifrance.
  15. Décret du 31 mars 2003 instituant une Journée nationale d'hommage aux harkis et autres membres des formations supplétives, JORF no 78 du 2 avril 2003, p. 5788, texte no 6, NOR DEFM0301195D, sur Légifrance.
  16. Loi no 96-296 du 9 avril 1996 tendant à faire du 20 novembre une Journée nationale des droits de l'enfant, JORF no 85 du 10 avril 1996, p. 5503, NOR TASX9501431L, sur Légifrance ; dossier législatif sur le site du Sénat.
  17. .Catholic Encyclopedia (1913)/Feast of the Annunciation of the Blessed Virgin Mary, Volume 1, Holweck, Frederick George (1907), New York: Robert Appleton Company.
  18. Union bouddhiste de France, « Vesak 1997 - Premier Vesak officiel en France », sur Bouddhisme-France.org (consulté le ).
  19. Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre), « Un agent public peut-il s'absenter le jour d'une fête religieuse non fériée ? », sur Service-Public.fr, (consulté le ).
  20. Ministère de la fonction publique, « Circulaire MFPF1202144C du 10 février 2012 relative aux autorisations d'absence pouvant être accordées à l'occasion des principales fêtes religieuses des différentes confessions », sur fonction-publique.gouv.fr, (consulté le ).
  21. il n'y a pas d'année bissextile pour les années multiples de 100 sauf celles multiples de 400 : 2100 n'est pas bissextile tandis que 2000 était bissextile
  22. « Les jours fériés légaux en France », sur Inspection-du-travail.com (consulté le )

Voir aussi

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Fête en France.

Articles connexes

Liens externes

  • (fr) Agenda au format webcal des jours fériés français : URI
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