Jane Mayer
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Jane Mayer
| Naissance |  New York |
|---|---|
| Nationalité | américaine |
| Formation | Ethical Culture Fieldston School (en) (jusqu'en ) Université d'Oxford Bedales School Université Yale Ethical Culture Fieldston School (en) |
| Activités | Journaliste, écrivaine, journaliste d'investigation |
| Rédactrice à | The New Yorker, The Wall Street Journal |
| Père | William Mayer (en) |
| Parentèle | Allan Nevins (grand-père maternel) |
| A travaillé pour | The New Yorker |
|---|---|
| Membre de | |
| Distinctions | Liste détaillée Bourse Guggenheim () John Chancellor Award (en) () Goldsmith Book Prize (en) () Weintal Prize for Diplomatic Reporting (d) () Prix George-Polk () The Sidney Award (en) ( et ) Membre de l'Académie américaine des arts et des sciences |
The Dark Side (d) |
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Jane Meredith Mayer (née en 1955 à New York) est une journaliste d'enquête et une essayiste américaine. Elle publie des articles dans les pages du New Yorker depuis 1995. Dans les années 2010, elle publie des articles sur l'argent en politique américaine, les poursuites judiciaires du gouvernement fédéral américain contre les lanceurs d'alerte, le programme de drones Predator du gouvernement américain, l'écrivain fantôme de Donald Trump[1] et Robert Mercer, homme d'affaires qui a financièrement soutenu Donald Trump lors de sa course à la présidence des États-Unis en 2016[2]. Son livre Dark Money : The Hidden History of the Billionaires Behind the Rise of the Radical Right (en), publié en 2016 chez Doubleday et apparu sur la New York Times Best Seller list de 2016, analyse les réseaux politique et financier des frères Koch, des milliardaires conservateurs[3].
Biographie
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Jane Meredith Mayer naît en 1955[4] à New York[5].
En 1992, elle épouse William Hamilton, qui travaille comme éditorialiste au Washington Post[5].
Dans les années 2010, elle est surtout connue en tant que journaliste d'enquête pour le compte du New Yorker[6],[7].
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page de Wikipédia en anglais intitulée « Jane Mayer » (voir la liste des auteurs).
- ↑ (en) Jane Mayer, « Donald Trump’s Ghostwriter Tells All », The New Yorker, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ (en) « The Reclusive Hedge-Fund Tycoon Behind the Trump Presidency », The New Yorker, (lire en ligne)
- ↑ (en) « The 10 Best Books of 2016 », The New York Times, (lire en ligne)
- ↑ (en) « Jane Meredith Mayer », Geni,
- ↑ a et b (en) « Weddings; Jane M. Mayer, William Hamilton », The New York Times, (lire en ligne)
- ↑ (en) « Jane Mayer, Contributor, The New Yorker », The New Yorker,
- ↑ (en) « Jane Mayer », dans The Writers Directory, Detroit, St. James Press,
Liens externes
- Ressource relative à la vie publique
: - C-SPAN
- Ressource relative à la musique :
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