José Campo

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José Campo
Fonction
Maire de Valence
-
Biographie
Naissance
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ValenceVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
MadridVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
espagnoleVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Autres informations
Distinction
Grand-croix de l'ordre du Mérite naval avec décoration blanche ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Campo Pérez José (Valence, , Madrid, ), est commerçant, financier, éditeur et homme politique espagnol. Maire de Valence vers le milieu du XIXe siècle, il est aussi l’un des principaux entrepreneurs coloniaux du pays à cette époque[1]. Il est également considéré comme un pionnier des chemins de fer.[réf. nécessaire]

Bibliographie

José Campo Pérez est issu d'une famille originaire d'un petit village de la province d'Aragon, près de Teruel. Ses parents viennent s'installer à Valence pour se lancer dans le commerce. José Campo déborde rapidement d'énergie. À 28 ans, il préside déjà le conseil municipal. En 1846, il se lance dans la banque et crée la Sociedad Valenciana de Fomento, qui deviendra ultérieurement la Sociedad Valenciana de Crédito y Fomento. Financièrement sûr de ses arrières il se lance dans le chemin de fer qui en est encore à ses balbutiements en Espagne. En 1851, Il récupère la concession de la ligne qui va du port de Valence à Xàtiva. Il saura la faire fructifier pour mettre en place un vaste réseau et donner naissance à la Sociedad de los Ferrocarriles Almansa-Valencia-Tarragona.

Il emploie des méthodes financières parfois peu orthodoxes qui lui vaudront de nombreuses critiques[réf. nécessaire].

Il est le principal financeur du pronunciamiento de Martínez Campos de décembre 1874 qui met fin à la Première République espagnole et instaure la Restauration bourbonnienne[1]. En récompense, il est élevé au rang de marquis de Campo Pérez par le roi Alphonse XII le .

Il disparait sans descendance en 1889, sa fille unique étant morte en bas âge, et son œuvre ne lui survit pas.

Notes et références

  1. a et b Elizalde Pérez-Grueso 2011, p. 378

Annexes

Bibliographie

  • [Elizalde Pérez-Grueso 2011] (es) María D. Elizalde Pérez-Grueso, María Dolores Buldain Jaca (dir.) et al., « La Restauración, 1875-1902 », dans Historia contemporánea de España (1808-1923), Madrid, Akal, (ISBN 978-84-460-3104-8), p. 371-521

Liens externes

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