José María Blanco White
Pour les articles homonymes, voir Blanco et White.
Pour l'auteur-compositeur-interprète britannique, voir Blanco White.
Naissance | |
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Décès | (à 65 ans) Liverpool |
Nationalité | espagnole |
Formation | Université d'Oxford Université de Séville Universidad de Osuna |
Activités | Écrivain, théologien, prêtre catholique, journaliste, poète |
Genre artistique |
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José María Blanco White, né José María Blanco y Crespo, est un éditorialiste et penseur espagnol, né le à Séville et décédé le à Liverpool.
Il est considéré comme l'un des plus importants auteurs de son temps, notamment par Juan Goytisolo[1]. Son exil à Londres, peu après le déclenchement de la Guerre d'indépendance espagnole à la suite de l'incarcération du successeur du trône, Ferdinand VII, et immédiatement après le scandale de la convocation des Cortes Generales, lui donna l'opportunité de développer son œuvre journalistique, le plus souvent au service des prémices indépendantistes de l'Amérique hispanique.
Bibliographie
- (en) Martin Murphy, Blanco White: Self-banished Spaniard, New Haven: Yale University Press, 1989.
- (fr) André Pons, Compte-rendu de lecture: Martin Murphy, Blanco White Self-banished Spaniard, Caravelle. Cahiers du monde hispanique et luso-brésilien, Année 1991, 57, pp. 223-225.
- (fr) Gwendoline ML, El Español et la crise américaine (1810-1814) [1], 2019.
- (es) M. Artola, la España de Fernando VII, tome XXVI de la Historia de España dirigée par Menéndez Pidal, Espasa-Calpe, 1968.
Notes et références
- ↑ (es) Juan Goytisolo, La transicion cultural no se ha producido, article paru dans El Pais, le 13 novembre 2010
Liens externes
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