Loupiac (Gironde)

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Loupiac
Loupiac (Gironde)
La mairie (août 2011)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Patrick Expert
2023-2026
Code postal 33410
Code commune 33253
Démographie
Gentilé Loupiacais
Population
municipale
1 097 hab. (2021 en diminution de 3,09 % par rapport à 2015)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 37′ 30″ nord, 0° 17′ 57″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 108 m
Superficie 9,57 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Cadillac-sur-Garonne
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Loupiac
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Loupiac
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Loupiac
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Loupiac
Liens
Site web www.commune-loupiac33.fr/
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Loupiac est une commune française, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

Ayant donné son nom à l'AOC loupiac (vin liquoreux), la commune de Loupiac se trouve dcans l'Entre-deux-Mers, sur la rive droite de la Garonne, à 37 km au sud-est de Bordeaux, à 11 km au nord-nord-ouest de Langon, et à 2,5 km au sud-est de Cadillac[1].

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Bordeaux, dans l'unité urbaine et dans le bassin de vie de Cadillac-sur-Garonne ainsi que dans la zone d'emploi de Langon[I 1].

Article connexe : Entre-deux-Mers.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Omet, Barsac, Cadillac-sur-Garonne, Donzac, Gabarnac, Monprimblanc et Sainte-Croix-du-Mont.

Carte
Les limites communales de Loupiac et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Loupiac
               Cadillac-sur-Garonne Omet Donzac
                         Rive droite
Barsac        de la
                     Garonne
Loupiac Monprimblanc
Sainte-Croix-du-Mont Gabarnac

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 9,57 km2 ; son altitude varie de 3 à 108 mètres[2].

Hydrographie

Carte hydrographique de la commune.

La commune se trouve en rive droite du fleuve la Garonne.

Elle est drainée également par plusieurs ruisseaux.

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Gironde.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sauternes à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 859,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

Carte des zones naturelles d'intérêt écologique faunistique et floristique de type 2 sur la commune.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une partie de la ZNIEFF de type 2[Note 1] « Vallees et coteaux de l'Euille et de ses affluents » est recensée sur la commune[10].

Urbanisme

Typologie

Au , Loupiac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cadillac-sur-Garonne[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (81,8 %), forêts (10,6 %), zones urbanisées (4,1 %), eaux continentales[Note 5] (3,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 542, alors qu'il était de 536 en 2015 et de 507 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 86,4 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Loupiac en 2020 en comparaison avec celle de la Gironde et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (5,1 %) par rapport au département (8,9 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Loupiac en 2020.
Typologie Loupiac[I 3] Gironde[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 86,4 84,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,1 8,9 9,7
Logements vacants (en %) 8,5 6,3 8,2

Voies de communication et transports

La principale voie de communication routière qui traverse la commune est la route départementale D10 qui longe la Garonne et qui mène vers le nord-ouest à Cadillac-sur-Garonne et vers le sud-est à Saint-Maixant ; au nord du bourg, la route départementale D117 commence à partir de cette D110, traverse le bourg et conduit vers le sud-est en direction de Verdelais.

L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le no 2, dit de Podensac, qui se situe à 8,5 km vers le sud-ouest en passant par Cadillac-sur-Garonne.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) est distant de 24 km vers le sud.

La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Cérons, sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine, distante de 4,5 km vers l'ouest en passant par Cadillac-sur-Garonne. Celle de Langon, proposant plus de trafic, est distante de 11 km vers le sud-est.

Risques naturels et technologiques

Le territoire de la commune de Loupiac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1999, 2009, 2020 et 2021[19],[17].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Loupiac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 536 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 536 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, par des mouvements de terrain en 1999 et 2014 et par des glissements de terrain en 1997[17].

Toponymie

Le nom de la commune pourrait venir de celui d'un propriétaire gallo-romain local (comme Lupus ou Lopus) augmenté du suffixe -acum ou désigner un lieu abritant des loups (lupus en latin).

Le , la commune de Loupiac devient Loupiac-de-Cadillac, puis Loupiac[23],[2].

En gascon, le nom de la commune est Lopiac.

Histoire

Révolution française et Empire

À la Révolution française, la paroisse Saint-Pierre de Loupiac forme la commune de Loupiac[23].

Époque contemporaine

  • Loupiac au tout début du XXe siècle
  • L'église en 1851.
    L'église en 1851.
  • Le bureau de tabac.
    Le bureau de tabac.
  • La route nationale.
    La route nationale.
  • L'entrée du bourg.
    L'entrée du bourg.
  • Vue sur la Garonne.
    Vue sur la Garonne.
  • Le moulin.
    Le moulin.
  • Le château du Cros.
    Le château du Cros.
  • Château Berthoumieux.
    Château Berthoumieux.
  • Château Dauphiné.
    Château Dauphiné.
  • Château Ricaud.
    Château Ricaud.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouvait dans l'arrondissement de Bordeaux du département de la Gironde[2]. En 2006, le canton de Cadillac, dont Loupiac, est rattaché à l'arrondissement de Langon[24],[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Cadillac[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de l'Entre-Deux-Mers[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la douzième circonscription de la Gironde.

Intercommunalité

Loupiac était membre de la communauté de communes des Coteaux de Garonne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Convergence Garonne, dont est désormais membre la commune[I 1].

Article connexe : Intercommunalité en France.

Liste des maires

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
décembre 1851 août 1860 Jean Cluzan    
septembre 1865 septembre 1870 Marie Joseph Henri Gabriel de La Chassaigne   Propriétaire
septembre 1870 mai 1871 Reinhold Dezeimeris    
mai 1871 mai 1871 Désiré Bore   Maire pendant deux jours
mai 1871 juillet 1871 Marie Joseph Henri Gabriel de La Chassaigne   Propriétaire
juillet 1871 mai 1876 Jean Vigne    
octobre 1876 septembre 1877 Reinhold Dezeimeris    
janvier 1878 décembre 1880 Edouard de Fontainemarie    
janvier 1881 décembre 1887 Jean Cazeaux    
décembre 1887 mai 1929 Adrien Cazeaux    
mai 1929 mai 1935 Cyprien Destang    
mai 1935 novembre 1944 Abel Dejean    
novembre 1944 janvier 1968 Maurice Fouquet    
février 1968 mars 1971 Jean-Roger Roux    
mars 1971 mars 1977 Rolland Pouvereau    
mars 1977 juin 1995 Jean Claverie    
juin 1995 mars 2001 Guy Falissard    
mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Lamothe    
mars 2008 mai 2020[26] Lionel Chollon[27] PCF Professeur des écoles
Vice-président de la CC des Coteaux de Garonne
mai 2020[28],[29] janvier 2023[30],[31] Jean-José Bonneron   Comptable retraité
Démissionnaire
avril 2023[32],[33] En cours
(au 24 janvier 2024)
Patrick Expert DVG Ancien directeur d'hôpital

Équipements et services publics

Un marché se tient depuis 2021 les dimanches matin sur la place jouxtant l'église[34].

Enseignement

Les enfants sont scolarisés dans une école communale, implantée depuis 1933 dans le château de Berthoumieu[35], et qui, pour l'année 2020-2021, compte 56 élèves en maternelle et 92 en primaire[36]. Elle dispose d'une cantine[37].

Justice, sécurité, secours et défense

La commune a mis en place en 2024 une réserve communale de Sécurité civile[38].

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Loupiacais[39].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

En 2021, la commune comptait 1 097 habitants[Note 6], en diminution de 3,09 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0151 0111 0411 0141 0259819028991 000
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7938929199441 0029779751 0341 046
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0741 0771 017938950925854875904
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9488909669819909399391 1481 114
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2021 - - - - - - - -
1 097--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Deux bouteilles de l'AOC Loupiac.

Le Loupiac (AOC) est un vin français d'appellation d'origine contrôlée produit sur la commune et issu des cépages[43] :

  • le sémillon pour 80 %, qui apporte le gras et la force ;
  • le sauvignon, présent dans une proportion de 15 %, apportant sa touche aromatique ;
  • La muscadelle, enfin, qui complète l'assemblage..

Avec les appellations cadillac et sainte-croix-du-mont, ils forment une petite région produisant des vins liquoreux au sein de l'Entre-deux-Mers, dans le vignoble de l'Entre-deux-Mers.

La confrérie des Compagnons du Loupiac contribue à la notoriété de cette appellation[44].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • La villa gallo-romaine Logo monument historique Inscrit MH (2011)[45],[46] datant des IIe et Ve siècles à plusieurs niveaux, avec des thermes où l’on trouve le caldarium, le tepidarium et le frigidarium. C'est un réseau complexe de canalisations et vaste piscine de 140 m3. Ses mosaïques tapissant toutes les surfaces des sols sont d’une grande richesse en couleur. La villa est abandonnée au VIe ou au VIIe siècle et un prieuré bénédictin est édifié, à la fin du XIe ou début du XIIe siècle, dont subsistent la chapelle et des des éléments de la maison jouxtante du XVIIIe siècle
    Dès la première moitié du XIXe siècle, d’importantes mosaïques gallo-romaines sont signalées à l’emplacement du prieuré Saint-Romain. L’archéologue loupiacais R. Dézeimeris entreprend des recherches. Ses découvertes font l’objet de nombreuses communications à l’Académie de Bordeaux dans lesquelles il tente d’identifier la villa gallo-romaine de Loupiac à celle d’Ausone.
    Aujourd’hui, seul le site de la piscine entourée de mosaïques et des thermes ont été mis au jour. Leurs dimensions considérables (12,5 × 8 m pour la piscine, 71 m2 de mosaïques) permettent d’imaginer l’importance de ce domaine agricole sous l’antiquité[47].
    Des croix monumentales du XIXe siècle sont érigées à proximité, au lieu-dit Plapa[48], ainsi que la chapelle Saint-Romain, construite sur les bases d'un édifice antique, exhaussée au XIIe siècle et transformée en maison au XIXe siècle[49].
  • La villa gallo-romaine
  • Le site archéologique.
    Le site archéologique.
  • La maison du XVIIIe siècle, la chapelle et le site de la villa.
    La maison du XVIIIe siècle, la chapelle et le site de la villa.
  • La chapelle Saint-Romain.
    La chapelle Saint-Romain.
  • Mosaïque.
    Mosaïque.
  • Reconstitution de mosaïque.
    Reconstitution de mosaïque.
  • Vestige de colonne.
    Vestige de colonne.
  • L'église Saint-Pierre Logo monument historique Classée MH (1840)[50],[51], du XIIe siècle.
    La façade occidentale de l'église est composée d'un avant-corps, percé de trois arcades, et divisée par des bandeaux abondamment ornés. Sous la corniche, soutenue par des modillons sculptés, figure une frise, consacrée à la Cène, entre le Péché originel et l'adoration de l'agneau. Saint Jean appuie sa tête contre l'épaule du Christ, au milieu des 11 apôtres. Cette scène, plutôt rare en France, rappelle les apostolados des églises espagnoles.
  • L'église Sainte-Croix, dont la porte est du XVIe siècle Logo monument historique Inscrit MH (1925, Porte du XVIe siècle)
  • Presbytère, 14 route de l'Église, du XVIIIe siècle, en rez-de-chaussée à pavillon central à l'étage[52], qui abrite depuis 2019 un café associatif[53].
  • Le château du Cros Logo monument historique Inscrit MH (1993, Tours et vestiges du château, sol et sous-sol archéologique)[54],[55] : château du XVIe siècle et pavillon du XVIIe siècle, qui est peut-être un vestige d'un corps de bâtiment plus important relié au château.
    Depuis le château, le promeneur a une vue sur sur la vallée de la Garonne, et sur les cinq différentes appellations de vin blanc liquoreux de l'Entre-Deux-Mers : Sauternes, Sainte Croix du Mont, Barsac, Cérons et Loupiac[56].
  • Château Pontac, ferme de la fin du XVIIe siècle ou du début du XVIIIe siècle, restaurée et agrandie au XIXe siècle[57].
  • Le Château Luber-Chaperon bâti en 1869
  • Le château la Yotte et ses équipements agricoles, de la fin du XVIIIe siècle[59].
  • Le château du Cros Lepine, ferme du XVIIIe siècle agrandie au XIXe ou au début du XIXe siècle[60].
  • Le château Gaudiet, édifice dont une partie semble dater de la limite des XVIIe et XVIIIe siècles, transformé en château en 1780 pour l'armateur bordelais Belso et agrandi au XIXe siècle[61].
  • Le château Mazarin, constitué d'une ferme de la limite du XVIIIe et du XIXe siècle restaurée et agrandie d'un château dans la seconde moitié du XIXe siècle[62].
  • Château Berthoumieu, dit Château Promis, au lieu-dit Berthoumieu, maison édifiée au début du XIXe siècle et restaurée dans la seconde moitié du même siècle, comprenant sur l'élévation antérieure un balcon porche soutenu par des colonnes provenant des bains de la place des quinconces de Bordeaux qui dataient des années 1820 ; les anciennes dépendances abritent aujourd'hui l'école communale[63]
  • Fermes anciennes des XVIIe au XIXe siècle : Clos Jean, en rez-de-chaussée couverte d'une toiture à longs pans à pignon couvert et dont l'une des façades comprend une série d'arcades en anse de panier ornée de croix de Malte[64], ferme au lieu-dit Le Gascon[65], ferme dite Domaine des Rochers, au lieu-dit Jean Fau[66], ferme au Plapa[67], Ferme le Chay[68], ferme au lieu-dit Françoye[69],Fermes au lieu-dit Roche[70],[71], ferme, 14 route de Saint-Macaire[72], ferme, 48 route de Saint-Macaire[73], ferme au lieu-dit le Noble[74], ferme Desclau, lieu-dit Gaudiet[75], ferme au lieu-dit Guinot[76], au lieu-diit Rondillon[77], Ferme Bramepan, au lieu-dit Despalets[78], ferme au lmieu-dit Violle[79].
  • Maison du XVIIe siècle, lieu-dit Roumaud[80].
  • Maison du XVIIe siècle les Roques, restaurée au XIXe siècle[81].
  • Maison dite Château du Vieux Moulin, dont les parties les plus anciennes datent de la limite des XVIIIe et du XIXe siècle[82].
  • Maison, 24 route de l'Église, du XVIIIe siècle[83].
  • Maison, lieu-dit Rouquette, de la fin du XVIIIe siècle[84].
  • Écart au lieu-dit Berthoumieu, un ensemble de constructions des XVIIIe et XIXe siècles implantées autour d'une demeure transformée aujourd'hui en mairie[85].
  • Croix de Françoye, croix de chemin au lieu-dit Françoye, de 1926, en fer reposant sur un socle de pierre[86] et croix du cimetière en calcaire, pierre de taille et fer, du début du XIXe siècle[87].
  • Moulin de Mouliot sur le Chay, dont les parties les plus anciennes datent du XVIIIe siècle[88] et pont de Mouliot, du XIXe siècle[89]. Un autre pont du XIXe siècle franchiot le Chay au lieu-dit Le Chay[90]
  • Fontaine publique, routes de Martillac et de l'Église, édifiée en 1860, surmontée d'une sculpture qui parait dater du XVIIe siècle[91].
  • Puits au lieu-dit Le Prince, du XVIIIe siècle[92] et au lieu-dit Le Temple, également du XVIIIe siècle[93].
  • Monument aux morts, du début du XXe siècle, ornée d'une statue de femme tenant un drapeau ainsi qu'un un soldat mourant dans ses bras[94].
  • Pont de Cazillon sur le Chay, du XIXe siècle[95].
  • Circuit de randonnée des coteaux de l’Entre-Deux Mers : boucle au départ de Loupiac, mélangeant des paysages vallonnés très variés et changeants : vignes, prairies, bosquets.
  • L'église Saint-Pierre (août 2011)
    Logo monument historique L'église Saint-Pierre (août 2011)
  • Le portail de l'église (août 2011)
    Le portail de l'église (août 2011)
  • Le chevet de l'église (août 2011)
    Le chevet de l'église (août 2011)
  • La nef de l'église (août 2011)
    La nef de l'église (août 2011)
  • Le château du Cros (mars 2012)
    Logo monument historique Le château du Cros (mars 2012)
  • Vielle fontaine dans le village (août 2011)
    Vielle fontaine dans le village (août 2011)
  • Le monument aux morts près de l'église (août 2011)
    Le monument aux morts près de l'église (août 2011)

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Loupiac (Gironde), sur Wikimedia Commons
  • Loupiac, sur le Wiktionnaire

Bibliographie

  • Maurice Ferrus, Loupiac de Cadillac au cours des âges, Le Livre d'histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France » (réimpr. 1996) (1re éd. 1933), 146 p. (ISBN 2-84178-086-4, présentation en ligne).

Articles connexes

Liens externes

  • Site de la mairie.
  • « Notice descriptive : Loupiac », Population, affaires économiques, statistiques > Recensements de la population > Mouvements de la population > Etats du mouvement de la population par commune, Archives départementales de la Gironde (consulté le ).
  • « Loupiac », http://macommune.biodiversite-nouvelle-aquitaine.fr/ (consulté le ).
  • « Dossier complet : Commune de Loupiac (33253) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
  • Résumé statistique de Loupiac sur le site de l'Insee

  • Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata
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Notes et références

Notes et cartes

Notes

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des espaces qui intègrent des ensembles naturels fonctionnels et paysagers, possédant une cohésion élevée et plus riches que les milieux alentours.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Cadillac-sur-Garonne, il y a une ville-centre et trois communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

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Références

Site de l'Insee

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Autres sources

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  97. « Georges, Barthélémy Cazeaux-Cazalet », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
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