Nuclear-Free Future Award

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article doit être actualisé ().

Des passages de cet article ne sont plus d’actualité ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-le ou discutez-en. Vous pouvez également préciser les sections à actualiser en utilisant {{section à actualiser}}.

Le Nuclear-Free Future Award (Prix de l'avenir sans nucléaire) est décerné par la Fondation Franz Moll (Franz-Moll-Stiftung für die kommenden Generationen). Fondé à la suite de l’Assemblée mondiale sur l’uranium réunie à Salzbourg en Autriche en 1992, il est remis depuis 1998 à des personnes ou des organisations ayant œuvré pour un monde sans nucléaire.

Lauréats

  • 2012 : Heiden (Suisse)
    • Katsumi Furitsu
    • Susan Boos
    • Gabriela Tsukamoto
    • Yves Marignac
    • Sebastian Pflugbeil
  • 2011 : Berlin (Allemagne)
    • Nadezhda Kutepova et Natalia Manzurova, Russie
    • Barbara Dickmann et Angelica Fell, Allemagne
    • Hans Grassmann, Allemagne
    • Heinz Stockinger, Autriche
    • Helen Caldicott, Australie
  • 2010 : New York
    • African Uranium Alliance, Afrique
    • Bruno Barrillot, France
    • Oleg Bodrov, Russie
    • Martin Sheen, États-Unis
    • Henry Red Cloud, États-Unis
  • 2008 : Munich (Allemagne)
    • Jillian Marsh, Australie[1]
    • Manuel Pino, États-Unis[2]
  • 2007
    • Opposition : Charmaine White Face et Defenders of the Black Hills, États-Unis
    • Éducation : Prof. Siegwart Horst Günther, Allemagne
    • Solutions : Mayors for Peace
    • pour l'ensemble des réalisations : Freda Meissner-Blau, Autriche, et Prof. Armin Weiss, Allemagne
  • 2006
    • Opposition : Sun Xiaodi, Chine[3]
    • Éducation : Dr. Gordon Edwards, Canada (pour son engagement pour informer le public canadien sur les dangers de l'extraction de l'uranium)[3]
    • Solutions : Wolfgang Scheffler et Heike Hoedt, Allemagne (pour sa démonstration du Four solaire comme d'une énergie alternative pour les communautés des pays du sud)[3]
    • pour l'ensemble des réalisations : Ed Grothus, États-Unis[3]
  • 2005
    • Opposition : Motarilavoa Hilda Lini, Vanuatu
    • Solutions : Preben Maegaard, Danemark
    • pour l'ensemble des réalisations : Mathilde Halla, Autriche
    • Special Recognition : conseil de la tribu des Navajos, représenté par le président Joe Shirley Jr., États-Unis
  • 2004
    • Opposition : JOAR, organisation d'agriculteurs indiens, qui a pris la défense des populations dont la santé était menacée par la centrale nucléaire de Bihar[4]
    • Éducation : Asaf Durakovic, spécialiste américain du nucléaire, fondateur de l'Uranium Medical Research Center, une ONG qui étudie les effets de la contamination par l'uranium[4]
    • Solutions : Jonathan Schell, journaliste, écrivain et pacifiste américain, militant pour le désarmement nucléaire[5]
    • pour l'ensemble des réalisations : Hildegard Breiner, militante écologiste autrichienne, qui a dirigé les protestations contre l'installation nucléaire de Zwentendorf[4]
    • Special Recognition : l'IndianCity Montessori School à Lucknow, Inde, la plus grande école privée au monde, qui milite pour un avenir sans nucléaire [4]
  • 2003
    • Discours : Hans-Peter Dürr, physicien allemand
    • Opposition : Carol Gilbert, Jackie Hudson et Ardeth Platte, religieuses dominicaines, emprisonnées pour s'être introduites dans une base aérienne où se trouvaient des missiles Minuteman N-8 en
    • Éducation : Souad Naij Al-Azzawi, géologiste irakien
    • Solutions : Corbin Harney, chef spirituel des indiens Western Shoshone
    • pour l'ensemble des réalisations : Inge Schmitz-Feuerhake, physicien allemand
  • 2002[6]
    • Opposition : Mordechai Vanunu, scientifique atomiste israélien
    • Education : Ole Kopreitan
    • Solutions : Helen Clark, premier ministre de la Nouvelle-Zélande
    • pour l'ensemble des réalisations : Alexei Yablokov, Francis Macy
    • Special Recognition: The Bulletin of the Atomic Scientists
  • 2001
    • Opposition : Kevin Buzzacott, Australie
    • Éducation : Kenji Higuchi, Japon
    • Solutions : Hans-Josef Fell, politicien allemand
    • pour l'ensemble des réalisations : Solange Fernex, femme politique française
    • Special Recognition: David Lowry
  • 2000
    • Opposition : Eugène Bourgeois, Normand de la Chevrotière et Robert McKenzie
    • Éducation : Yuri I. Kuidin (posthum)
    • Solutions : The Barefoot College of Tilonia
    • pour l'ensemble des réalisations : Klaus Traube, Allemagne
  • 1999
    • Opposition : Grace Thorpe et Dorothy Purley
    • Éducation : Lydia Popova
    • Solutions : Ursula Sladek et Michael Sladek, physiciens allemands
    • pour l'ensemble des réalisations : Stewart Udall
  • 1998
    • Opposition : Yvonne Margarula, Australie
    • Éducation : Raúl Montenegro, biologiste argentin
    • Solutions : Hari Sharan, Inde
    • pour l'ensemble des réalisations : Maisie Shiell, Canada

Lien externe

  • The Nuclear Free Future Award

Notes et références

  1. Jillian Marsh.
  2. Manuel Pino.
  3. a b c et d « Recipients of the 2006 Nuclear-Free Future Awards »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  4. a b c et d « The 2004 Nuclear-Free Future Award Recipients »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  5. http://www.nuclear-free-future.com/en/laureates/laureates/jonathan-schell/ Jonathan Schell.
  6. The 2002 Nuclear Free Future Awards
  • icône décorative Portail de la politique
  • icône décorative Portail du nucléaire
  • icône décorative Portail de l’environnement