Pietrangelo Buttafuoco

Cet article est une ébauche concernant un écrivain et un journaliste italien.

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Pietrangelo Buttafuoco
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (60 ans)
CataneVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
italienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Journaliste, écrivainVoir et modifier les données sur Wikidata

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Pietrangelo Buttafuoco (né le à Catane) est un journaliste, un homme de théâtre et un écrivain italien.

Biographie

Neveu du député du MSI, Antonino Buttafuoco, il devient dirigeant de la jeunesse du Mouvement social italien, puis en 1991 du comité central et ensuite à partir du congrès de Fiuggi, de l'assemblée nationale d'Alliance nationale. Il devient journaliste du Secolo d'Italia à partir de 1993, puis il collabore avec Il Giornale de Vittorio Feltri. Il dirige l'émission Sali e Tabacchi sur Canale 5. Puis il travaille au Foglio de Giuliano Ferrara avant d'arriver à Panorama en 2004[1].

En 2005, il publie chez Mondadori Le uova del drago, finaliste du prix Campiello. Il réalise sur LA7 le programme Giarabub. Le , il est nommé président du Teatro stabile de Catane, en y remplaçant Pippo Baudo[1].

En 2008, il publie son second roman, L'ultima del diavolo où il évoque le moine Bahira et Mahomet. En 2011, il publie Il lupo e la luna aux éditions Bompiani. En 2012, il démissionne du Teatro Stabile. En , il écrit pour La Repubblica. La publication de l'article « Il dizionario dei distrutti » sur ce quotidien le provoque sa suspension de Panorama qui le licencie en . En , il collabore aussi à Il fatto quotidiano[1].

En , il participe à la création de La nave di Teseo avec Umberto Eco[1].

En 2015 également, Buttafuoco se serait converti à la religion islamique[2].

Le le gouvernement Meloni le désigne à partir de mars 2024 à la tête de la Biennale de Venise entre-autres manifestations d'art contemporain, danse, musique[3].

Notes et références

  1. a b c et d (it) Niccolò Caranti, « Buttafuoco, Pietrangelo nell'Enciclopedia Treccani », sur Treccani, (consulté le ).
  2. (it) Francesco Maria Del Vigo, « Allah conquista Buttafuoco: "Chiamatemi pure Giafar" », sur ilGiornale.it, ilGiornale, (consulté le ).
  3. Coline Clavaud-Mégevand et Jean-Philippe Commeignes, « Qui est vraiment… Pietrangelo Buttafuoco, le nouveau directeur de la Biennale de Venise », sur Le Monde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).

Liens externes

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