Route nationale 120
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Route nationale 120 | ||
L'ancienne route nationale 120 devenue route départementale 920 à l'entrée d'Espalion, en direction d'Aurillac, en 2014. | ||
Historique | ||
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Déclassement | D 1120 (Corrèze) D 120 et D 920 (Cantal) D 920 (Aveyron) | |
Caractéristiques | ||
Extrémité nord-ouest | Uzerche | |
Extrémité sud-est | Bozouls (jusqu’à 2006 : Aurillac) | |
Réseau | Ancienne route nationale déclassée | |
Territoire traversé | ||
3 régions | Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie | |
3 départements | Corrèze, Cantal, Aveyron | |
Villes principales | Tulle, Argentat, Espalion | |
Notes | ||
Tracé avant le déclassement de 1972 | ||
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La route nationale 120, ou RN 120, est une ancienne route nationale française reliant Uzerche à Aurillac via Tulle et Argentat. Avant 1972, elle se prolongeait jusqu'à Bozouls.
Histoire
En 1824, la route royale 120 est définie « de Rodez à Limoges par Aurillac », « [s'embranchant] près de Bozouls, sur la route no 88, et [joignant] en avant d'Uzerche la route no 20 de Paris à Toulouse ». Elle succède à la route impériale 140[1].
Avant la réforme de 1972, elle reliait Uzerche à Bozouls. La section d'Aurillac à Bozouls a été déclassée en RD 920.
Il subsistait encore, jusqu'en 2006, la portion reliant Uzerche à Aurillac. Elle est déclassée en RD 1120 en Corrèze et en RD 120 dans le Cantal.
Tracé
D'Uzerche à Aurillac
Les principales communes traversées sont :
- Uzerche (km 0)
- Seilhac (km 12)
- Naves (km 20)
- Tulle (km 28)
- Laguenne (km 31)
- Forgès (km 45)
- Saint-Chamant (km 49)
- Argentat (km 55)
- Montvert (km 80)
- Saint-Paul-des-Landes (km 95)
- Espinat, commune d'Ytrac (km 99)
- Aurillac (km 106)
D'Aurillac à Bozouls
Les principales communes traversées sont :
- Aurillac (km 106)
- Arpajon-sur-Cère (km 109)
- Lafeuillade-en-Vézie (km 125)
- La croix de Thérondels, commune de Labesserette (km 133)
- Montsalvy (km 137)
- Entraygues-sur-Truyère (km 149)
- Estaing (km 167)
- Espalion (km 176)
- Bozouls (km 185)
Une déviation d'Espalion par l'ouest est ouverte à la circulation depuis le [2],[3] et inaugurée le même jour[4]. Longue de 3,85 km, elle comprend trois points d'échange (dont un échangeur avec la D 556 vers Bessuéjouls) et quatre ouvrages d'art (dont un pont sur le Lot) et a coûté 26 millions d'euros[2]. La traversée du bourg reste la D 920 tandis que la déviation s'appelle D 920a.
Notes et références
- ↑ Louis Becquey, Ministère de l'Intérieur – Administration générale des ponts et chaussées et des mines, Statistique des routes royales de France, Paris, Imprimerie Royale, (lire en ligne), p. 418.
- ↑ a et b « La déviation d'Espalion officiellement ouverte ! », sur aveyron.fr, Conseil départemental de l'Aveyron, (consulté le ).
- ↑ « Le contournement d'Espalion ouvrira le 14 décembre » , sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- ↑ Olivier Courtil, « Le contournement d'Espalion enfin inauguré » , sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des routes nationales de France
- Liste historique des routes nationales de France
- Réseaux routiers de l'Aveyron, du Cantal et de la Corrèze
Liens externes
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