Saint-Galmier

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Saint-Galmier
Saint-Galmier
Vue générale de Saint-Galmier depuis la colline des Trois Croix.
Blason de Saint-Galmier
Blason
Saint-Galmier
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Saint-Étienne Métropole
Maire
Mandat
Philippe Denis
2020-2026
Code postal 42330
Code commune 42222
Démographie
Gentilé Baldomériens
Population
municipale
5 842 hab. (2021 en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015)
Densité 300 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 27″ nord, 4° 19′ 05″ est
Altitude Min. 357 m
Max. 551 m
Superficie 19,47 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Just-Saint-Rambert
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Andrézieux-Bouthéon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Galmier
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Galmier
Géolocalisation sur la carte : Loire
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Saint-Galmier
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Saint-Galmier
Liens
Site web www.saint-galmier.fr
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Saint-Galmier est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes. Située sur les contreforts des Monts du Lyonnais et dominant la vallée de la Coise d'environ 60 mètres, la commune compte plus de 5 800 habitants au dernier recensement. Saint-Galmier est entrée dans le guide Michelin des 100 villes labellisées plus beaux détours de France depuis 2008.

Géographie

La commune est située à 25 km de Saint-Étienne[1] , à 56 km de Lyon[2] et à 350 km de Marseille.

La superficie de la commune est de 19,47 km2 ; son altitude varie de 357 à 551 mètres[3].

Communes limitrophes de Saint-Galmier
Bellegarde-en-Forez Chazelles-sur-Lyon
Cuzieu Saint-Galmier
Chambœuf Saint-Médard-en-Forez

Climat

Pour des articles plus généraux, voir Climat d'Auvergne-Rhône-Alpes et Climat de la Loire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne-Bouthéon », sur la commune d'Andrézieux-Bouthéon à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 728,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records ST ETIENNE-BOUTHEON (42) - alt : 395m, lat : 45°32'44"N, lon : 4°17'37"E
Records établis sur la période du 01-04-1946 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,3 0,2 2,6 5 9 12,6 14,4 14,2 10,7 8,1 3,7 1,1 6,8
Température moyenne (°C) 3,8 4,5 7,8 10,7 14,6 18,5 20,7 20,6 16,4 12,7 7,6 4,6 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,8 13,1 16,3 20,3 24,5 26,9 26,9 22,2 17,3 11,4 8 16,9
Record de froid (°C)
date du record
−25,6
04.01.1971
−22,5
11.02.1956
−13,9
08.03.1971
−7,4
08.04.21
−3,9
01.05.1976
−0,6
03.06.1962
2,9
01.07.1972
1,1
26.08.1966
−2,6
26.09.1972
−6,2
30.10.1950
−10,6
26.11.1955
−18,6
22.12.1963
−25,6
1971
Record de chaleur (°C)
date du record
20
10.01.15
23,2
24.02.1990
26,4
25.03.1981
28,8
16.04.1949
33,7
13.05.15
38
27.06.19
41,1
07.07.15
40,9
24.08.23
36
13.09.1987
32,4
02.10.23
25,2
09.11.1985
20,2
25.12.1983
41,1
2015
Ensoleillement (h) 814 1 086 1 623 1 862 2 137 2 407 2 751 2 591 1 932 1 347 876 758 20 184
Précipitations (mm) 38,3 30,3 33,9 55 81,5 80,8 77,2 72,8 70,3 76,2 73 39 728,3
Source : « Fiche 42005001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Saint-Galmier est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Just-Saint-Rambert, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[13] et 64 061 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,7 %), zones urbanisées (15,8 %), terres arables (15,8 %), forêts (13,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et de transport

Routes principales

Transport aérien

L'Aéroport de Saint-Étienne-Loire est situé à 9,5 km du centre de la commune, l'Aéroport de Lyon-Saint-Exupéry à 96 km.

Transports ferroviaires

La gare de Veauche - Saint-Galmier, située sur le territoire communal de Veauche est située à environ 4 km du centre de la commune.

Transports urbains

La commune est desservie par les lignes de bus du réseau STAS suivantes :

Histoire

Mairie de Saint-Galmier.
Église à Saint-Galmier.

Saint-Galmier vit le jour durant l'époque gallo-romaine. À l'époque, on suppose que la ville se nommait Vicus Auditiacus. Cela a été vérifié par la découverte de thermes romains non loin de la source Badoit. En effet, en 1884, lors de fouilles destinées à rechercher de nouveaux filons d’eau, sont découverts des vestiges de ces thermes datant d’une période allant du milieu du IIe siècle à la moitié du IVe siècle.

Pendant le haut Moyen Âge, Saint-Galmier fait partie du Comté de Forez et devient châtellenie comtale. Les comtes se succèdent au château, Guy 1er en 1115, Guillaume le Barbu en 1118 et Renaud en 1265.

Au XIIIe siècle, la ville devient ainsi un centre actif d’échange ; au carrefour de deux grands axes Velay-Lyonnais et Auvergne-Dauphiné. De nombreux moulins s’installent sur la rive gauche de la Coise.

Aux XIVe et XVe siècles, Saint-Galmier devient résidence des Comtes de Forez. L’église actuelle est située à l’emplacement du château, le clocher correspondant au donjon. Jusqu’en 1280, la première enceinte renferme le château, l’église, le cimetière et quelques maisons. Elle passe derrière l’église actuelle et, au bord de la place, elle était percée de la porte du Pain visible jusqu’en 1840, ainsi dénommée car elle bordait la place du Pain où était installé le four banal. Il faudra attendre 1360 pour voir la seconde enceinte de 1200 m de long avec tours et portes, formant des remparts de 7m de haut autour du bourg qui s’étend au sud sur le flanc de la colline.

Au XVIIe siècle, les remparts sont remaniés et les tours carrées disparaissent au profit de tours rondes. Les portes, quant à elles, sont en partie préservées. Au XVIIIe siècle, le développement urbain entraîne la création de voies nouvelles, ce qui provoque des destructions ponctuelles du rempart primitif. Des cinq portes primitives il ne reste que celle de l’Hôpital, au Sud, appelée aujourd’hui porte de Saint-Etienne.

Jeanne de Bourbon, épouse de Guy VII réside souvent à Saint-Galmier, car la ville est fortifiée et la châtellenie a de nombreux et puissants feudataires aux alentours. Ses fils y naissent et vers 1350 le Comte fait édifier pour elle le Manoir de Teillères de l’autre côté de la Coise, c’est à ainsi qu’est construit le pont Gavé. A la mort d’Anne Dauphine en 1417, Saint-Galmier ne reçoit plus les Comtes de Forez mais reste sous l’administration des châtelains du Comté. En 1531, le Comté passe sous l’autorité royale pour être rattaché à la Couronne Royale et la châtellenie est alors engagée à des seigneurs qui ont droit à ses revenus.

Sous la Révolution, à partir de 1793, Saint-Galmier s’est appelée par différents noms : Fontfortville, Commune-Fond-Fort ou encore Ville-Fontfort. Tous ces noms faisant référence à la source Badoit.

Par la suite, cette ayant connu les noms de Waldomar, évoluant en Baldomar puis Galmier, Sanctus Baldomerus est définitivement devenu Saint-Galmier dès 1801. Il s'agit effectivement d'un hommage à un ouvrier serrurier forgeron, né dans cette ville et remarqué pour ses hautes vertus avant d'être appelé à l’abbaye de Saint Just de Lyon où il fut ordonné moine. Il y mourut le 27 février 650. L'église actuelle lui est dédiée et conserve quelques-unes de ses reliques.

  • Médaille représentant le portrait de la Vierge au Pilier
    Médaille représentant le portrait de la Vierge au Pilier que l'on peut voir dans l'église de Saint-Galmier (bronze, 59 mm, signée Delarche).
  • Revers de la médaille avec l'intérieur de l'église
    Revers de la médaille avec l'intérieur de l'église.

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Maires avant 1947
Période Identité Étiquette Qualité
         
10 ventôse an 2 Pierre Passot    
10 ventôse an 2 8 pluviôse an 3 Vissaguet    
8 pluviôse an 3 9 messidor an 3 André Fessy    
9 messidor an 3 ? ? Granet    
20 prairial an 8 10 nivôse an 9 Claude Bourrin    
10 nivôse an 9 Antoine Foujols    
Charles de Damas    
Pierre Dulac    
Charles de Damas    
Jean Etienne Félix Ladevèze    
Adrien Dulac    
Bernard Tempier    
Grégoire Tempier    
Emile Pagnon - Nommé par la commission du gouvernement provisoire    
Antoine Jean Pierre Forissier    
Gilbert Félix Ladevèze    
Benoit Cherbouquet Badoit    
Félix Commarmond   adjoint a fait fonction de maire
Antoine Jean Pierre Forissier    
Henri Peyret-Lacombe    
Thiollière de l'Isle    
Joseph Desjoyaux    
Jean Baptiste Odin    
Jean Delande    
Joseph Desjoyaux    
Didier Guetton    
Gabriel Cousin    
Jean Rollin    
 
Antoine Ravel    
Gilbert Dubois    
Camille Passot   pharmacien

(décès)
Maurice André CNIP  
Joannès Moulard DVD  
Jean Bouchardon[19] DVD Courtier en assurances
Président de la communauté de communes du Pays de Saint-Galmier
(1996-2008)
Jean-Yves Charbonnier[20] DVD Enseignant retraité
En cours Philippe Denis DVC  
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats

Article détaillé : Élections à Saint-Galmier.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 5 842 habitants[Note 3], en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0002 3942 4792 7902 6592 8052 7583 0102 952
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9322 9543 0352 9022 9363 0223 4103 2573 296
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 1043 0593 0302 5492 5292 5432 5242 5072 573
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 6082 9103 1093 6804 2725 2935 7055 5805 707
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2021 - - - - - - - -
5 842--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église de Saint-Galmier.
  • Bassins de thermes romains, découverts au milieu du XIXe siècle, détruits dans l'Antiquité par une inondation de la Coise ; les mêmes fouilles ont révélé plusieurs médailles, dont une d'Antonin et une de Licinius (v.250-325)[25].
  • Château de la Croix de Mission.
  • Château de la Doue.
  • Château de la Rey.
  • Château du Verney.
  • Église de Saint Galmier, du XVe siècle, monument historique depuis 1972 : inscription pour le clocher et la façade occidentale, classement du reste de l'édifice[26]. Les vitraux de l'église sont d'Alexandre Mauvernay, peintre-verrier local. Le clocher, d'une hauteur de 37 mètres, se visite pendant la période estivale.
  • Un hippodrome créé en 1899 ; avec une piste en herbe de 1 330 m et une piste de trot de 1 220 m, l’hippodrome de Saint-Galmier appelé hippodrome Joseph-Desjoyaux, nom d'un ancien maire de la commune, est le seul éclairé de la région Rhône-Alpes.
  • Maison Renaissance, du XVIe siècle, immeuble classé au titre des monuments historiques depuis 1945.
  • Manoir de Teillière, du XIVe siècle, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1929.
  • Porte Saint-Étienne, du XIVe siècle.
  • Source d'eau gazeuse, exploitée par Danone, distribuée en France sous la marque Badoit (autrefois Saint-Galmier). L'ancien bâtiment administratif de l'usine Badoit, propriété de la ville, est inscrit au titre des monuments historiques depuis 2015[27].
  • Clocher de l'église.
    Clocher de l'église.
  • Nef et abside de l'église.
    Nef et abside de l'église.
  • Les bains romains découverts au XIXe siècle.
    Les bains romains découverts au XIXe siècle.
  • Kiosque de puisage de la source Badoit.
    Kiosque de puisage de la source Badoit.
Le lac du barrage du Vérut.

Espaces verts et fleurissement

En 2014, la commune de Saint-Galmier bénéficie du label « ville fleurie » avec « 4 fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[28] Elle compte plus de 12 hectares d’espaces verts : parc municipal, roseraie, bords de Coise…

Plus Beaux détours de France - Guide Michelin

En 2021, Saint-Galmier est choisie pour faire la couverture du guide Michelin « les plus beaux détours de France ».

Elle figure de nouveau dans le guide en 2022.

Sports

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Saint-Galmier a accueilli le championnat du monde de cross-country IAAF 2005 sur son hippodrome où les Éthiopiens Kenenisa Bekele et Tirunesh Dibaba furent sacrés.

Personnalités liées à la commune

  • Saint Galmier (VIIe siècle - 660), moine.
  • Claude Dupuy (1545-1594), magistrat et humaniste originaire de Saint-Galmier.
  • Claude Ramel (1768-1831) homme politique, député de la Loire au Conseil des Cinq-Cents, né à Saint-Galmier (Loire) et décédé à Roanne (Loire).
  • Casimir Royer (1791-1876), magistrat et homme politique né à Saint-Galmier.
  • Alexandre Mauvernay (1810-1898), peintre verrier à Saint-Galmier, décédé dans cette ville.
  • Roland Forissier (1889-1973), homme politique et agriculteur, né à Saint Galmier.
  • Antoine Ravel (1893-1970), député de la Loire de 1932 à 1936, né et mort à Saint-Galmier.
  • Gilbert Bostsarron (1903-1944), industriel et résistant, né à Saint-Galmier.
  • Roger Rivière (1936-1976), coureur cycliste professionnel mort à Saint-Galmier. Désormais, il existe un gymnase à son nom.
  • Pica (né en 1953), dessinateur de bande dessinée (Les Profs)[réf. nécessaire].
  • Louis Laforge (né en 1968), journaliste sur France 3, né à Saint-Galmier.

Héraldique

Blason de Saint-Galmier Blason
D'argent au chevron de gueules chargé d'une macle du champ.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Saint-Galmier et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Saint-Galmier et Lyon », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Galmier et Andrézieux-Bouthéon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Étienne-Bouthéon », sur la commune d'Andrézieux-Bouthéon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Saint-Étienne-Bouthéon », sur la commune d'Andrézieux-Bouthéon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Saint-Just-Saint-Rambert », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Retiré des affaires depuis 2008, l’ancien maire baldomérien pratique assidûment la randonnée [1]
  20. Saint-Galmier sur le site de l'association des maires de France, consulté le 29 juin 2015.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Études archéologiques des eaux thermales ou minérales de la Gaule à l'époque romaine. J. G. H. Greppo. année illisible, XIXe siècle. pp. 83-85. Citation d'une lettre de l'abbé Roux décrivant le premier bassin découvert.
  26. Base Mérimée du Ministère de la Culture
  27. Le bâtiment Badoit inscrit à l'inventaire des monuments historique - Le Progrès.
  28. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).

Voir aussi

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  • Saint-Galmier, sur Wikimedia Commons

Articles connexes

Liens externes

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  • Ressource relative à la musiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • MusicBrainz
  • Saint-Galmier sur le site de l'Institut géographique national
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