Syndrome d'activation

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Le synfrome d'activation est une forme de stimulation (parfois suicidaire) ou d'agitation qui a été observée en association avec certains médicaments psychoactifs[1]. Un rôle causal n'a pas été établi[2]. Pfizer a nié que la sertraline puisse causer de tels effets[3],[4].

Traitement

Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine ont été associés à un état d'agitation, de labilité, d'agitation et d'anxiété appelé "syndrome d'activation." Chez certaines personnes, ce changement d'état peut augmenter les tendances suicidaires, surtout chez les individus de moins de 25 ans et pendant les premières semaines de traitement[2]. Le syndrome d'activation induit par les ISRS est bien accepté par les cliniciens[5]. Il n'est pas clair si le syndrome de nervosité/anxiété prédit un bon ou un mauvais pronostic (niveau D).[6] Le syndrome d'activation se résout en quelques heures après l'arrêt de l'agent sérotoninergique et le début des soins. Cependant, la résolution des symptômes peut être légèrement plus longue chez ceux prenant des médicaments avec des demi-vies plus longues, tels que les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO). .[réf. nécessaire]

Notes et références

Références

  1. « Recent regulatory 2006 » [archive du ] (consulté le )
  2. a et b « www.accessdata.fda.gov »
  3. « Pfizer letter to Healy », sur healyprozac.com (consulté le )
  4. « Archived copy » [archive du ] (consulté le )
  5. Reid JM, Storch EA, Murphy TK, Bodzin D, Mutch PJ, Lehmkuhl H, Aman M, Goodman WK, « Development and Psychometric Evaluation of the Treatment-Emergent Activation and Suicidality Assessment Profile », Child Youth Care Forum, vol. 39, no 2,‎ , p. 113–124 (PMID 20473344, PMCID 2867356, DOI 10.1007/s10566-010-9095-5)
  6. Lindsey I. Sinclair, David M. Christmas, Sean D. Hood, John P. Potokar, Andrea Robertson, Andrew Isaac, Shrikant Srivastava, David J. Nutt et Simon J.C. Davies, « Antidepressant-inducedjitteriness/anxiety syndrome:systematicreview », The British Journal of Psychiatry, vol. 194, no 6,‎ , p. 483–490 (PMID 19478285, DOI 10.1192/bjp.bp.107.048371 Accès libre)
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